MICHELE

Quelqu'uns d'entre vous connaissent ce texte.

Une nouvelle fois, je voulais rendre hommage à ma soeur Michèle que j'aimais tant. "Maintenant que j'ai accepté son départ, je peux dire tout simplement "je t'aime ma Michèle, petite soeur chérie."

Je vous fais cadeau des premières pages de mon livre.



MICHELE

Un soir, éveillée vers minuit, j'eus une vision d'un bouquet magnifique de bulles transparentes, aériennes, et irisées qui flottaient, dans l'attente d'un doigt qui les transpercerait.

Tout y était : l'ambiance, les odeurs, les mots.

C'est ce que je fis avec un grand plaisir ;

Un à un, je recueillis intacts tous mes souvenirs aussi frais qu'hier, CEUX, vécus avec ma soeur bien aimée.




PREFACE


Enfants, Michèle et moi aurions pu nous croire jumelles : que de joies, de peines, de jeux, d'espoirs, avons-nous partagés !


Taquine et de nature plus joyeuse que la mienne, elle allait toujours de l'avant.
Une sensibilité à fleur de peau, il émanait de sa personne cette aura si particulière que distillent les êtres pétrit de bonté.


Tout simplement, je l'aimais et je l'aime encore.



Je sais que de là haut, elle NOUS protège et son amour pour NOUS est infini.




INTRODUCTION


Michèle était une petite fille souriante aux cheveux blonds clairs et souples. Elle avait cette façon de sourire en baissant la tête et de se cacher avec un doigt de la main, lorsqu'il y avait du public qui la regardait. Des bouclettes encadraient son visage au regard coquin. Elle était potelée et plus petite que son aînée (elle se rattrapa par la suite).
Trés dégourdie, elle me fit croire à l'âge de 8 ans, que je serai aussi haute qu'un arbre. Je craignis qu'elle dise vrai. Il est exact que je grandis vite (et m'arrêtai de même). Mes yeux s'agrandirent en se portant vers la direction d'un chêne. Ma naïveté la fit bien rire...

Toutes jeunes, nous étions trés unies et à bien y réfléchir, nous ne nous quittions jamais.

Un souvenir, que je savoure encore c'est une caresse, un souffle chaud qui m'enveloppent quand je repense à ces soirées. Telle, une, de celles-ci qui refléte si bien l'image de la lumineuse petite fille que fut Michèle....

Maman vivait avec "Ernest", le père de ses quatre derniers enfants. Le soir, nous montions à l'étage, ma mère tricotait près de la cheminée et son compagnon écoutait la radio. Nore chambre était fleurie de lilas, que nous chapardions dans les champs voisins. Alors, nous nous retrouvions entre nous et en profitions au maximum, Michèle, deux frères, deux autres soeurs et moi, la dernière fille encore bébé dormait dans la chambre de ses parents. Impatiemment, nous attendions l'instant magique, celui où Michèle grimpait sur un de nos grands lits et debout, inventait en les mimant des histoires avec humour et drôlerie.

Il y avait une fois...., C'était l'histoire de... , Le ton de ces récits était comique, nous entrâinait dans une irrésistible hilarité, nous nous en tenions les côtes. Les chutes étaient toujours très amusantes. Dans cette chambre, de vrais rires retentissaient.

C'était de bons moments.

D'autres soirs, nous passions des histoires aux prières. Les "Je vous salue Marie" l'emportaient le plus souvent sur les "Notre Père".

Nous nous décidions qu'il fallait réciter à haute voix des dizaines de fois l prière de Marie. Cela pouvait durer 30 mn ou 1heure entrecoupée de pauses pour nommer celui ou celle à qui était destinées les pieuses paroles. Nous étions contents de nous.


D'Jacq
(comme elle aimait m'appeler)

Un réel plaisir de te relire......p'tite Jack.....je t'aime beaucoup ainsi que ta soeur Michelle.....tellement coquine...pensée pour elle....bisou

Merci Jacqueline

[color=blue]un autre petit bout "si je rappelle bien que vous n'aviez pas lu"..



MES PREMIERS SOUVENIRS D'ENFANCE.

Après la séparation, ma mère alla vivre avec ses quatre enfants chez ses parents Louis et Germaine (.....) de Villedieu les Poêles dans la Manche. Eloignés de 50 km de notre père repartit chez sa mère à Périers, nous vécûmes une année dans ce verdoyant *bocage.

De nombreuses haies vives et touffues formant un véritable maillage dans ce pays infiniment secret et plein de charme, où se succèdent collines boisées, vallées encaissées avec quelques beaux aplombs de rochers et prés humides.

Loin de tout, mes grands parents logeaient dans une maisonnette, portant le n° 59 (c'était son nom), était située près de la ligne de chemin de fer "Paris-Granville". "Très près", puisque les services publics décidèrent de la raser par la suite, jugée trop dangereuse. Les grands-parents étaient gardiens d'un passage « sans niveau ». Aucune barrière, aucune route pour y accéder, seul un chemin y conduisait ou encore un sentier qui longeant le rail pendant 800 m, il fallait ensuite grimper sur un remblai pour arriver à un pont bitumé, très périlleux pour les petits que nous étions.

C'était le trajet que j'empruntais, chaque jour, à l'âge de six ans pour me rendre à l'école. Maman bloquée avec son dernier bébé et malgré les efforts de ma grand-mère pour m'accompagner, j'allais souvent seule et me confiais à ma sœur Michèle, combien j'avais peur lorsqu'un train à vapeur arrivait et sifflait. La fumée noire se rapprochait….. La locomotive sombre, hideuse et menaçante passait, indifférente devant la petite fille que j'étais, se collant contre le talus, les bras écartés, comme il me l'avait été conseillé. Tremblante, devant ce qui ressemblait à un monstrueux bras mécanique actionnant en un mouvement circulaire les roues couplées, je résistais à l'appel d'air que produisait la machine dans sa course folle. La trace de la fumée s'estompait et, vacillante et le cœur battant, je reprenais mon chemin.

Le passage sans niveau était très dangereux. Un jour, Lionel voulut suivre mémére, et coinça sa chaussure dans un rail. Vite, "Grand-mère" toujours aux aguets, discernant un sifflement de train, arriva et fit maints gestes pour retirer son petit-fils de cette situation, in-extrémis…… Le souvenir fut souvent relaté ainsi que celui de ma tante Rolande, sœur de ma mère vivant à Paris, connut la même mésaventure sur ce lieu. Son haut talon bloqué sur la voie, elle se hâta de rentrer avec son escarpin à la main, en entendant siffler le rapide.

* bocage (terme qui vient de la racine normande bosc et qui veut dire bois

Traditionnellement, quand l'Express Paris-Granville passait, les deux sœurs «Rolande et Odette» agitaient la main pour saluer le chauffeur ; oncle d'un futur beau-frère.

La petite maisonnette entourée d’un terrain grillagé permettait d’avoir des animaux, tels que chèvre, poules, canards, *picots.

Nous jouions souvent avec la biquette blanche du grand-père. De nature câline et des yeux espiègles, elle nous suivait si on l’approchait. Alors, on la prenait par le cou en la caressant. Au matin, son lait constituait notre petit déjeuner. Les repas se prenaient dans une salle sombre éclairée par une lampe à pétrole accrochée au plafond que l'on pouvait descendre et remonter à volonté.

Il y avait également un ruban collant débobiné d'une longueur d'un mètre sur lequel se comptaient les mouches mortes au fil du temps. Je fixais parfois cette repoussante spirale, qui n'était pas souvent remplacée et pensais à celles qui tournaient autour et finiraient fatalement sur la glu.

D'autres insectes plus agressifs venaient nous rendre visite.
Du jaune strié de noir.

L'été, des dizaines et des dizaines de guêpe étaient attirées par les confitures de rhubarbe de mémére. Danger ! Une guêpe ! Attention ! de ne pas en avaler une, en sirotant une boisson. C'est ce qui avait failli arriver au grand-père, alors qu'il buvait un verre de «cid». Combien de fois, nous menions bataille contre ces sales bêtes. Je les détestais.

Pour les repas, Michèle, assise sur un banc, se plaçait toujours sur ma droite. Un certain midi, coquine, elle avait réussi le tour de passe-passe de mettre les moules qu'elle n'aimait pas dans ma poche, sous les yeux du grand-père Louis, qui pourtant, était très vigilant dès qu'il s'agissait de nourriture.

Evidemment, je me fis prendre et disputer, mais ne dénonça pas ma sœur. Les fruits de mer avec leur poche noire la dégoûtaient, moi-même ne les appréciait pas davantage. Combien de fois, nous parlâmes plus tard de ce subterfuge. Elle riait : " Tu te rappelles des moules" ! La soupe était servie quotidiennement. Par une fois, mon grand-père m'obligea à la terminer en se postant devant moi. Il ne vit pas et ne comprit pas, que je pleurais à cause d'un bibet tombé dans mon assiette. Il attendit en râlant que je la finisse.

* picots : dindons
* cid : cidre
* bibet : moucheron

Dès les repas terminés, nous sortions dehors.

Dans la courette, trônait un puits avec sa margelle et son seau suspendu au bout d'une grosse chaîne enroulée sur un bois. Des fushias rouges affectionnés par ma grand-mère, étaient posés sur les rebords des fenêtres.

Nous n'avions pas de jouets, nous n'en aurions pas plus tard dans les années qui suivront. Un après-midi, j'eus l'idée de jouer au ballon, mais nous n'en possédions pas, et pour le remplacer, j'eus recours à une petite pierre.

Un caillou, on peut se le lancer et se le rattraper, n'est-ce pas !

- "Eh ! vas-y, Lionel ! Attrape" !
- "A mon tour, tiens Jacqu’line" !
- "Allez, t’es prêt ! j’lance" !
- "Après, c'est moi", "c'est mon tour, maint’nant" ! s'exclamait Michèle"!

et ainsi de suite… Michèle, impatiente, comptait les points et regardait.

- "Allez, dépêchez-vous, je veux l’lancer aussi" disait-elle !

Sa petite bouille ronde, épanouie et l'œil vif, allait de gauche à droite.

Elle n'eut pas le temps de jouer. Le projectile lancé sur Lionel, ne le rattrapant pas, alla cogner son front et finit sa course en cassant un carreau de la salle à manger. Le sang coula. Panique ! L'ampleur de la bêtise fut réalisée. Vite, "mémére" ayant entendu du *brit, essoufflée arriva, suivie de notre mère pour soigner mon petit frère et je fus vivement réprimandée avec interdiction formelle de jouer dans la cour. Des pleurs s'ensuivirent.

D'autres s'entendirent également, mais d'un autre genre, c'étaient ceux de ma grand-mère qui s'inquiétait de son fils, soldat parti en Algérie. Elle ne l'avait pas revu depuis 18 mois. Quand l’Oncle Raymond vint en permission, habillé de sa tenue militaire, il fit beaucoup d’effets et plus encore, lorsqu’il nous offrit trois gros paquets de bonbons enrobés d'un papier coloré (Huguette, trop jeune encore ne fit pas partie de la distribution). Des bonbons acidulés enroulés dans un papier rouge vif brillant. La couleur est encore précise. Un cadeau du ciel, nous n'en mangions jamais, et nous les fîmes durer longtemps sur notre langue. Le frère de ma mère aux cheveux blonds adorait son neveu Lionel qu'il appelait : «Titi».


* brit : bruit


Titi était toujours dans ses bras, l’oncle Raymond le faisait sauter en l'air, lui montrant sa moto "Morney-Peyron" noire, en l'asseyant dessus. Le démarrage de la grosse bécane provoquait un bruit énorme qui effrayait les deux petites filles que nous étions. Effarouchées, nous nous sauvions en se bouchant les oreilles.

Une autre présence fut celle de notre grand-mère à la poitrine généreuse et réconfortante, constamment parée d’un tablier retenu par des épingles nourrices. Elle savait soigner nos petits bobos, comme par exemple, une dent de lait qui remuait, elle prenait un fil blanc, entourait la quenotte et tirait d'un coup sec.

- «Ainchi, j’veis l’arrachi» !
- "Et Hop Lô"…disait-elle et poursuivait d’un rire sonore :
- "Tu veis ! t'n ryin senti, *ach’teu" !

C'était rapide et efficace.

Egalement, lorsque j’avais chaud, je me tournais vers elle en lui disant dans mon langage :

- « Acline, la sue ».

Le grand-père, également était toujours à nos cotés. Nous suivions notre "pépère" qui nous proposait :

- "V'nez promener' avec mé" !

Ainsi, il emmenait ses trois petits-enfants dans une *quérette traînée par son vélo. Que de fois, nous fîmes ensemble de petits trajets. Nous savourions ces moments privilégiés.

Il nous démontrait d'une autre façon sa tendresse ; c'était avec un certain plaisir qu'il nous ramenait une surprise, lorsqu'il revenait bredouille de la chasse. La poche arrière de sa veste à boutons en métal dorés était remplie de noisettes. D'un geste affectueux, il nous tendait sa grosse main et nous découvrions une poignée de fruits secs. Il vidait le reste sur la table recouverte d'une toile cirée représentant des scènes de chasse. Et là, nous cassions à belles dents sa récolte.

* ach’teu : en ce moment
* quérette : charrette

Il était affectueux envers ses petits-enfants, mais savait les disputer s’il le fallait. On le craignait malgré tout.

Un jour, ayant décidé de nous changer du lait de chèvre, le grand-père me demanda de m'arrêter le soir en revenant de l'école, pour ramener du lait de vache chez des personnes que je ne connaissais pas. Je fus pétrifiée devant la maison, et ne pus franchir l'entrée de la cour. Quelques minutes défilèrent devant le portail. Oui…. Non….La peur me fit continuer mon chemin. Je rentrais la tête basse avec ma *kanne vide et vis pépère qui m'attendait. Je n’eus pas de compliments… En colère, il repartit en vélo chercher le lait tout en maugréant contre sa petite fille.

Une autre fois, ce fut la grand-mère qui me fit des reproches mérités. J'avais exagéré les propos de mon petit frère « Lionel » en disant qu'il partait sur la route à la suite d'une dispute avec sa grand-mère. Affolée, elle le chercha partout. En réalité, il s'était simplement caché. J'étais confuse devant l'éclat de colère de mémére et du dépit de Lionel. Je m'en souviens encore.

Autre souvenir dont je parlais souvent à ma sœur, c'était au sujet d'une agression dont je fus l'objet à l’âge de 6 ans. Une bande de gosses âgés de 13 et 14 ans m'attaquèrent. Ils jetèrent mon cartable dans le ruisseau et moi avec. Le plumier ouvert ainsi que les cahiers et livre flottaient. Je rentrais sans mes affaires d'école, trempée comme une soupe et en larmes, avec leurs grosses rigolades dans ma tête. Pépère, ni une, ni deux, prit son vélo et chercha les garnements dont j'avais donné le signalement. Cet événement me traumatisa.

Lorsque je relatais ces faits, Michèle venait s’asseoir à mes côtés sur les marches du perron ; genoux contre genoux et son beau sourire me réconfortait. Nous étions inséparables.

Choquée et apeurée pendant longtemps, cela n'arrangea pas ma timidité maladive. J'avais déjà de grosses difficultés pour parler et articuler des sons. Je ne savais pas répondre à la question posée dans la cour de l'école ; "comment s'appellent tes grands-parents" ? Un blanc s’installait. Rien, aucun nom dans ma mémoire, c’était comme si j’étais dans un état léthargique. Les petits élèves se moquaient et les cocoricos fusaient à mon arrivée. A l'opposé, Michèle était plus en avance, débrouillarde et d'une particulière vivacité.


* kanne : vase, pot à lait[/color]

Merci tite Jac

Oh tite jack d'amour.........je t'aime......

Chez mes grands-parents, il y avait aussi une voie de chemin de fer, avec des bois, nous contruisions une superbe cabane...ce qui était chouette, c'est que le dimanche, il n'y avait pas de train....c'était rigolo de marcher sur les rails.....

J'étais également très timide.....mais aussi très casse tout.....

j'aime te lire.....c'est non seulement vivant, mais c'est ta vie que je découvre et je te remercie beaucoup de ta grande confiance.

merci Jacqueline

Tu as un beau brin de conteur Jacqueline

Merci ma tite Jacqueline... c'est un réel bonheur de te lire...

un vrai régal ....
tu racontes si bien... tout est rendu vivant ! bravo !!!

Merci pour ce partage Jacqueline.

Je trouve aussi que tu as un beau talent, te lire ainsi nous permet de connaitre une petite partie de ton enfance, de connaitre les liens qui t'unissait à ta chère soeur (pensées pour elle au passage).

Merci mes amis.

Ma Michèle, mon aimée... Comme je pense souvent à toi. Je sais que tu es près de moi.. Je repense à tes paroles... "rappelles toi, souviens toi, regardes dans ton coeur"...
Tit soeur d'amour je t'aime tellement......

Le souvenir guide nos pas vers l'osmose des sentiments entre les êtres des deux côtés du mirroir. Ton amour pour ta soeur en est la démonstration. Merci

ma belle Jack et Michelle......

Enormes bisous pour ta soeur Michele et pour toi.

Pensées lumineuses pour toi ma tendre soeur.
Sois près de moi dans mon cheminement spirituel.


Je t'aime.

Pensées pour toi Michèle et pour toi Jacqueline
Que ce pont entre le jour et la nuit, entre ici et ailleurs vous réunisse

Je ne savais pas Jacqueline pour ta soeur...
Ton livre est-il publié? Si oui quel en est le titre?
Meilleures pensées à vous deux

Douces pensées pour vous deux.

Merci Laurent

Non ma Biche, non pas publié et ne le sera pas. Il faudrait bien que je termine vite le tout pour le donner à mes frères et soeurs et à autres personnes chères à mon coeur.

Merci Biche et Renaissance

C'est important d'écrire pour la famille et pour les futurs descendants Jacqueline!
Je connais quelqu'un qui l'a fait et j'ai trouvé ceci passionnant. Cette personne a raconté à partir de lettres écrites pendant la guerre.
On pourrait presque en faire un film. Et on constate très bien l'évolution des moeurs...

c'est vrai. J'ai un jeune frère qui n'a pas bcp connu son père et même pas du tout. Son père qui fut notre beau père. Et je sais qu'il en souffre et je sais aussi que cela lui apporterait bcp les qq souvenirs, attitudes ou mots de son papa.

Pensées d'amour à ERNEST.

Je viens de lire ton si beau texte tite JACKY

Que je suis émue!! tu raconte si bien!! tu as un énorme talent!! dommage que tu ne veuille pas le publier!!

Je ne savais pas que tu avais perdu ta soeur , douces pensées pour elle et pour toi aussi tite JACKY

je t'aime

Toute la douleur me revient en bloc... Je ne gère pas auj..

Je voudrais tellement qu'elle me fasse signe "elle me manque tellement".... Je ne serai pas là bcp auj.. excusez moi..

Ma Jac... te serre très fort sur mon coeur
Pleure si tu en ressens le besoin... on ne peut pas toujours être fort, il nous faut craquer aussi de temps en temps pour évacuer.
Je t'embrasse mon amie

Merci ma douce, je ne fais que ça... Je croyais tout passé et tout revient.

Je te comprends, tite JACKY il y a des moments ou tout revient en force, alors que l'on croyait avoir définitivement fait notre deuil

Je t'embrasse fort ma tite JACKY

Merci de nous faire partager ces souvenirs c'est si fort on sent bien la complicité qui vous unissait. Elle te vois de la haut et doit être fiére de toi, tendres pensées pour toi et Michéle

Erik

ma tite jacq... je te serre contre mon coeur.... parfois la douleur, la tristesse et les larmes reviennent... je pense que tout ceci est bien normal ! l'absence physique est parfois si douloureuse !!!

je pense fort fort à toi ma tite jacqueline... et te dis

Ma tite Jacqueline, je te serre très fort sur mon coeur
Ce n'est pas d'être faible de pleurer...Laisse couler tes larmes...
Je t'embrasse

Tu n'es pas toute seule Jacqueline, je te l'assure. Nous pensons bien à toi.

Mumu a raison mon ange tu n'es pas toute seule .Je t'enlace dans mes tits bras et te fait un gigantesque calin ma chérie

nous t'aimons et pensons à toi mon ange.
suis là ....si tu as besoin

Tu auras des messages de ta soeur

Tendres pensées pour toi Jac.

Je t'embrasse très fort ma tite Jac... Il y a des moments qui sont plus difficiles, je sais... Fais brûler une petite bougie et confie toi à l'au-delà... Explique-leur ce que tu ressens, demande leur de l'aide... Je te promets qu'ils t'aideront et parfois de façon bien surprenante...
Bisous ma belle. Je suis là si tu as besoin...

Merci mes chers amis, je suis un peu gênée. Mais hier c'était hier. Il fallait que je reconnaisse cette douleur et l'accepter. Elle venait de très loin. Je vais mieux.

Merci Laurent, j'aimerai tant et si tu me le dis.. alors il est vrai que je serai très très heureuse.

Je vous embrasse tendrement et merci encore pour vos mots remplis d'amour.

Pensées d'amour un peu plus auj. ma tit soeur .. Cela fais 13 ans là.. en octobre.. que tu es partie. Les feuilles changeaient de teinte et tombaient. ce fut ma vision lorsque tu es partie.

Douce pensées pour MICHELE

Ma tite JACKY, aujourdh'ui tu as reçu un signe, ce bruit dans ton armoire justement aujourdh'ui n'est pas un hasard!

Tendre pensée pour vous deux

prenons le temps pour pleurer , être malheureux ... laissons parfois couler les larmes pour mieux les comprendre et en savourer la saveur; imposons-nous des temps d'arrêt et profitons -en pour consolider nos liens , nos amours et nos amitiés...
car ces temps d'arrêt , nous permettent d'entrer dans notre coeur et de l'écouter... tendre pensée pour toi et ta soeur

Pensées pour ta soeur et pour toi ma tite Jac... Tendresse

Pensées pour ta soeur

ma tite jacq... je pense fort à toi et à ta soeur en ce jour !!!!
ma tendresse vous entoure mes belles âmes !!!

Merci mes amis, à vous si présents ici, et dans mon coeur..
Merci infiniment. Cela fait un bout de temps et c'est comme si c'était hier. Je crois que je peux le dire de sa part :
Ma soeur Michèle et moi même "nous vous aimons".

Douces pensées pour ta soeur Michèle et pour toi Jacqueline

Pourquoi, suis-je revenue là ce soir ? Sans doute j'en ai besoin !
L'émotion me revient..

"ma tit soeur, nous avons tellement parlé de toi avec Huguette, elle a lu ces passages que je lui ai passé, elle a lu... tellement elle voulait savoir.... Ce fut une découverte pour elle de lire le tout en son entier.
Et hier, notre tit guéguette a rêvé de toi, de moi, Rêver que l'on dansait toutes les deux à la Pedvinière...

Ma Michèle, .... Quand ? ... Je voudrais tant.. Je t'aime tellement.

Pensées remplies de tendresse pour Michèle

Jacqueline, je n'avais pas vu ce post, je suis désolée, que d'émotions en te lisant
Je t'embrasse fort ma douce Jacqueline

j'avais envie de remonter ce post qui est le mien. Tout en pensant à ma tit soeur chérie, à ma soeur Michèle.
Qu'est ce que je t'aime.......

Voici pour les nouvelles amies, nouveaux membres.. à vous si cela peut vous aider, je vous offre cette lecture.

je vous embrasse avec tendresse